Monté sur son char syrien, il pousse devant lui des millions de bras et des milliers de rames. […] C’est cette clameur de panique que pousse le Messager arrivant à Suse : — « Ô vous toutes, villes de l’Asie ! […] M’entend-il pousser des sons discords, confus, lamentables ? […] Chaque flot pousse un cri qui l’accuse, une mer qui rejette des cadavres, roule son flux et son reflux contre lui […] » — « Pousse de hautes lamentations !