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837. (1900) Molière pp. -283

Il s’agit du Malade qu’on reçoit docteur, et à qui les assistants souhaitent une longue série de fléaux pour qu’il puisse gagner sa vie et prospérer. […] Je sors du genre humain pour que ma pensée (ou du moins la pensée de Goethe) soit plus claire, plus facile à accepter. […] L’esprit n’est pas à lui seul toute la comédie ; il y tient cependant une trop large place pour qu’on n’essaie pas de le défendre de deux reproches qui lui ont été souvent adressés, d’être futile et d’être méchant. […] Nous lui enverrons Plaute et Térence pour qu’il décide entre eux. NAPOLÉON Ou Caton pour qu’il lui donne des leçons de grammaire.

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