Une querelle de ce genre est une haine qui vient d’assez loin pour qu’on n’essaye pas de l’apaiser jamais. […] C’est ce qui manque à nos réalistes ; c’est ce qu’il faut qu’on ajoute à la réalité pour qu’elle devienne objet d’art ou de littérature. […] Quelle expérience il faut, pour que de tels réalistes « découvrent la patrie » ! […] Pour que le comte et la comtesse de Vallarciero fussent avertis de savoir qu’il existe et qu’il a nom Tito Bassi, quel exploit le tente ? […] Il faut une occasion, le moindre hasard, pour que la « vie secrète » se révèle.