L’idée positive et la conclusion pratique de M. de Laborde est celle-ci : Que le palais Mazarin est en lui-même un monument historique très digne d’être conservé, que la Bibliothèque y est bien placée, mieux qu’elle ne le serait ailleurs, et qu’il faut l’y laisser, sauf à réparer, à améliorer l’édifice au-dedans, et à le restaurer, à l’orner au-dehors, pour qu’il n’attriste pas le brillant quartier qui le possède. […] Quant au cardinal de Retz pourtant, il faut bien s’entendre ; c’est un trop grand écrivain, un trop incomparable auteur de mémoires, pour qu’on l’abandonne ainsi sans faire ses réserves et, en quelque sorte, ses conditions.