* * * — Combien de temps faudra-t-il encore — peut-être des siècles — pour que notre barbare civilisation ait le moindre confortable, et qu’une salle de plaisir quelconque, une salle de café ou de bal ou de spectacle, ne soit pas une boîte à maladie ou à malaise pour le lendemain. […] * * * — En sortant d’une maison, où nous avions dîné gaiement ensemble, le fin et discret observateur qu’est Viollet-le-Duc, me disait, et sa remarque était parfaitement juste : « Il faut, pour qu’une soirée soit agréable, que la maîtresse de maison ait un amant et que cet amant ne soit pas là. » 15 avril Rue de Courcelles. […] Mais j’ai trois louis là-haut et il y a cent quarante francs à la maison, pour qu’ils vivent… Si j’avais le malheur d’être malade quinze jours, eh bien !