Brunetière, que les meilleurs auteurs, contiennent des banalités, des incorrections, des clichés, toutes les négligences possibles, et pis, si l’on veut ; et nous avons dit aussi, comme M. […] Ce sont précisément ceux-là qui me paraissent avoir eu, plus que d’autres et à un degré suréminent, le don suprême de l’écrivain : la vie qui est la chose nécessaire, supérieure à la correction, à l’harmonie, à l’élégance, à toutes les qualités possibles, comme nous l’avons proclamé cent fois dans nos livres.