Ces musiciens m’ont répondu que la chose étoit possible, et même qu’on pouvoit écrire la déclamation en notes en se servant de la gamme de notre musique, pourvu qu’on ne donnât aux notes que la moitié de l’intonation ordinaire. […] On y emploïe toutes sortes de tons, et l’on y fait les progressions, soit en haussant la voix, soit en la baissant par toutes sortes d’intervalles possibles.