Combien d’œuvres doivent leur naissance à ces solennités et à ces largesses que rend seul possibles le bon état des finances publiques ! […] Il réclame des idées hautes et même, si possible, des idées neuves. […] Il est encore, et trop souvent avant tout, une affaire, une spéculation, un instrument entre les mains d’un richard désireux de s’enrichir encore ou d’une société anonyme qui entend placer ses fonds au taux le plus élevé possible.