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349. (1854) Nouveaux portraits littéraires. Tome I pp. 1-402

On dirait que M. de Lamartine tient à nous prouver qu’il possède une palette opulente, et ne veut pas prendre la peine de peindre. […] Le nom même qu’ils portent indique le don précieux qu’ils possèdent. […] M. de Lamartine qui possède le don des vers, ne possède pas encore le don de la prose. […] Certes, une pareille donnée possède au moins le mérite de la singularité. […] En un mot, nous possédons la raison des choses.

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