Necker pose en principe que, « pour être heureux, il faut être un sot ». […] Un métier de tapisserie, qu’on peut avancer ou reculer sans peine, est habituellement devant elle, et ses bras posés sur une tenture toujours commencée, afin qu’on n’y aperçoive aucun motif, elle passe et repasse une aiguille avec une noble nonchalance.