Paul de Saint-Victor La poésie n’était pas pour lui ce qu’elle est, ce qu’elle doit être pour les autres, une lyre qu’on prend et qu’on pose pour vaquer aux choses extérieures ; elle était le souffle, l’essence, la respiration même de sa nature.
Paul de Saint-Victor La poésie n’était pas pour lui ce qu’elle est, ce qu’elle doit être pour les autres, une lyre qu’on prend et qu’on pose pour vaquer aux choses extérieures ; elle était le souffle, l’essence, la respiration même de sa nature.