Enfin voici l’homme à qui il incombe de dénouer les ficelles et il nous permet de voir à moitié le génie assyrien qui, dans une pose un peu tourmentée, veille sur les cendres du poète. […] Il est vrai qu’étant donné la pose de son génie, le sculpteur ne pouvait s’en tirer qu’on lui donnant un corps de femme.