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424. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Leur correspondance publiée par le chevalier d’Arneth »

Le volume de M. d’Arneth se termine par un Portrait de la reine, qui s’est trouvé à Vienne, copié de la main du secrétaire intime Pichler, dans un des cahiers des papiers de famille. […] Le portrait est juste ; il n’a rien de satirique ; il est impartial ; deux ou trois petits mots semblent y déceler une plume étrangère, quoique tout y soit, d’ailleurs, d’une observation bien française. […] On a vécu jusqu’ici, en ce qui le concerne, sur le portrait, vraiment odieux, que Mme Campan avait tracé de lui : « Cet abbé de Vermond, dit-elle, dont les historiens parleront peu parce que son pouvoir était resté dans l’ombre, déterminait presque toutes les actions de la reine.

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