Qu’on se rappelle ce portrait de Mme Hautcastel (chap. xv), qui, comme tous les portraits, et peut-être, hélas ! […] Cette étude a précédé en date mes articles sur le comte Joseph (Portraits littéraires, tome II) ; je m’étais dès longtemps occupé de ce dernier, mais avant de l’aborder décidément, je reculais toujours. […] Ainsi, par exemple, quand il nettoie machinalement le portrait, et que son âme, durant ce temps, s’envole au soleil, tout d’un coup elle en est rappelée par la vue de ces cheveux blonds : « Mon âme, depuis le soleil où elle s’était transportée, sentit un léger frémissement de plaisir ;… » en imposer pour imposer ; sortir de sa poche un paquet de papier… Mais c’est assez : je tombais l’autre jour sur une épigramme du spirituel poëte épicurien Lainez, compatriote du gai Froissart et contemporain de Chapelle, qu’il égalait au moins en saillies ; il se réveille un matin en se disant : Je sens que je deviens puriste ; Je plante au cordeau chaque mot ; Je suis les Dangeaux à la piste ; Je pourrais bien n’être qu’un sot.