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289. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre septième »

Nous sommes les sujets de ces peintures, les originaux de ces portraits. […] Il semble qu’on reconnaisse un frère, un ouvrier de la même vigne dans les portraits qu’il a tracés des Pères, ses prédécesseurs dans l’interprétation du dogme et dans la prédication. […] Et quel intérêt ai-je à chercher sous ce portrait immortel l’original qui n’est plus ? […] D’ailleurs, en fait de portraits, on ne fait pas ce qu’on veut ; on peint ce qui existe. […] La plupart de ses portraits sont si complexes et si vastes, qu’on dirait une collection de traits mis en réserve pour quelque travail ultérieur de triage et de choix.

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