C’est un portrait de plus à ajouter à ceux de la galerie de Versailles, ou, si vous l’aimez mieux, c’est comme un émail de Petitot : Pour mon portrait, écrivait-elle à un homme qui l’aimait, je voudrais bien le faire sur l’idée que vous en avez conçue et qu’on voulût s’en rapporter à vos descriptions ; mais il faut dire naïvement ce qui en est. […] On peut rêver devant un tel portrait toute une destinée de plaisir, de folie et de malheur.