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239. (1914) En lisant Molière. L’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Quand on fait le portrait d’un sot, on fait un peu le portrait de tout le monde ; quand on fait le portrait d’un homme raisonnable, c’est du romanesque. […] Il est à noter, je crois, que Don Juan n’est pas un portrait de Don Juan, comme j’ai dit ; c’est plusieurs portraits de Don Juan, c’est plusieurs portraits successifs de Don Juan. […] Excellemment vu et le portrait est très fin. […] Je n’ai pas besoin de dire-que la fin du portrait d’Onuphre est exquise. […] Elle est plutôt faiseuse de portraits.

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