De Portraits intimes en portraits intimes de cette époque dont ils ont le goût, qui est déjà une corruption, ils sont arrivés à cette grande figure de Marie-Antoinette, plus grande que le cadre du siècle dans lequel elle est renfermée ; et, le croira-t-on ? […] La Marie-Antoinette de MM. de Goncourt n’est pas certainement le portrait définitif, la toile historique irréprochable de cette femme, qui attendra longtemps un peintre digne d’elle.