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1733. (1864) Corneille, Shakespeare et Goethe : étude sur l’influence anglo-germanique en France au XIXe siècle pp. -311

On est presque d’accord que cette Melpomène française, si excessivement vantée, n’a vécu que d’imitation ; qu’elle n’offre que quelques portraits au lieu de ces tableaux larges et animés par la multitude des caractères qui appartiennent à un sujet historique etc… Jeunes écrivains, voulez-vous connaître l’art, voulez-vous le faire sortir des bornes puériles où il est enchaîné ?

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