Dans un autre genre, lisez le chapitre sur l’Entrevue de Napoléon Ier et de Goethe, vous y trouverez un portrait bien curieux de Bonaparte jeune, mélancolique et contemplatif. […] Freytag s’est déjà distingué au théâtre : il observe avec finesse ; ses portraits sont ingénieux, et, bien que la force lui fasse défaut dans l’invention des caractères, il rencontre çà et là des traits énergiques. […] Freytag a dessiné ce portrait de Bernard avec une vérité déchirante. […] Sevelingues « avec le portrait de Werther » (Paris, 1804 et 1825).