Telle était sa manière d’embellir ses portraits d’ancêtres. […] Ce qui est exact, c’est que Mme de Noailles avait promis pour cet ouvrage un portrait d’elle, dessiné par elle-même — un autoritratto, comme on dit en italien — et qu’elle le refusa quand elle eut pris connaissance du texte, en signe de désaveu. […] Quels merveilleux portraits, supérieurs au meilleur Sainte-Beuve12 !