Cousin, s’était porté en avril 1842 sur Pascal, au moment où d’autres écrivains s’en occupaient également ; mais il s’y était porté avec les caractères propres à sa nature entraînante et impétueuse. […] Faugère était mieux prédisposé que personne à mener à bien cette œuvre de restauration et de piété dans laquelle son esprit exact et délicat allait s’aiguiser d’une sensibilité tendre et scrupuleuse pour porter sur chaque point une investigation pénétrante. […] Il faudrait en conclure du moins que cette première édition des Pensées était telle que le grand siècle pouvait l’admettre, et qu’il n’en aurait pu porter davantage : conclusion dont le retour ne laisse pas d’être infiniment flatteur pour nous.