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33. (1869) Cours familier de littérature. XXVIII « CLXVIIIe entretien. Fénelon, (suite) »

Celle qu’il conquérait tous les jours sur madame de Maintenon, par l’attrait de son entretien, ne portait pas moins d’ombrage à la cour. […] Ce piége, il le portait en lui-même : c’était sa belle âme et sa poétique imagination. […] Il se chargea d’examiner à loisir ses écrits et de porter un arrêt suprême auquel elle se soumettrait avec une déférence volontaire. […] Il porta secours à son pays. […] Ses écrits et ses correspondances de cette époque portent tous l’empreinte de cette mélancolie qui, dans les hommes de foi, n’est que le déplacement de leurs espérances d’ici-bas, là-haut.

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