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307. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « XXIX » pp. 117-125

Louis Veuillot était un peu à l’origine de cette race des condottieri ; sans prétendre qu’il ne porte pas dans ses excès un fond de conviction sincère, il y garde du moins et y nourrit toutes les passions et les grossièretés humaines et inhumaines. […] On est singulièrement frappé, en le lisant, de la longueur interminable des phrases ; Patin, qui professe avec distinction la poésie latine à la Faculté des Lettres, est un charmant et fluide improvisateur, mais il en porte trop les habitudes dans ce qu’il écrit.

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