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27. (1857) Cours familier de littérature. III « XVe entretien. Épisode » pp. 161-239

Ô chers essaims groupés aux fenêtres, aux portes ! […] leur dirai-je à mon tour : c’est lui qui porte la destinée ! […] Une petite fille de douze ans, qui garde les vaches dans l’enclos, entrouvrit la porte au bruit des pas de mon cheval. […] Vous savez que le mur de l’église projette son ombre sur cette partie du jardin, et que l’on communique, par cette porte dérobée, de l’enclos dans le cimetière du village. […] Je m’essuyai le front et les genoux pour faire le tour de l’édifice, et pour y entrer par la petite porte qui ouvre au midi sur la côte opposée.

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