Mais, soit nature, soit habileté politique, il ne se prononçait pas nettement encore avec le parti des saints de ses amis. […] Cela ne rompit pas cependant nos entrevues politiques. […] Juif errant de la foi et de la politique, il ne restera rien de lui qu’un nom illustré par des versatilités illustres et des essais démentis par des essais contraires. […] Il n’y gagna rien que la répugnance visible de l’Assemblée à entendre un prêtre emporté par la rancune politique se mêler à une proposition téméraire qui pouvait, si elle eût prévalu, compromettre des têtes d’hommes. […] Mais sa politique et sa vie eurent bientôt le même terme, il mourut en 1849, aux îles d’Hyères, et laissa ses fils sans fortune.