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984. (1866) Nouveaux essais de critique et d’histoire (2e éd.)

M. de Chateaubriand changea de route et prouva le christianisme par des élans de sensibilité et des peintures poétiques. […] On imposa à la vérité l’obligation d’être poétique et non d’être vraie. […] Il rendit les affaires poétiques. […] S’il est vague, poétique, enclin à réaliser les abstractions, elles seront mystiques. […] Elle grandissait enfonçant ses racines, étendant ses branches, et le naturalisme poétique se changeait en un panthéisme mystique.

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