« Pour les Allemands la source poétique est dans cette dernière et plus secrète profondeur de la nature humaine qu’on nomme le cœur. […] Cet écrit est une sorte de drame en prose, divisé en trois journées avec des intermèdes poétiques d’un caractère mélancolique. […] N’est-il trop tard pour parler le langage de la vertu, quand on a énervé l’âme par la peinture poétique du vice ? […] Aux premières Méditations (1820) en succédèrent de nouvelles (1823) et plus tard, les Harmonies poétiques et religieuses (1830). […] Son écrit le plus connu est un morceau de prose poétique auquel il a donné pour titre le Centaure.