.), on a vu la vérité sur Werther, la part de réalité qui s’y trouve combinée à des éléments poétiques et transformée par l’art. […] Quoique le caractère poétique soit moins marqué dans ce dernier roman, il y a eu de la part de l’auteur une grande habileté à fondre les éléments réels qui font la matière de son récit, avec les circonstances romanesques qui composent ou achèvent la physionomie de ses personnages.