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286. (1902) Symbolistes et décadents pp. 7-402

Paternellement Grenet-Dancourt m’engagea à persévérer et à habituer le public à ma conception de la prose poétique. […] Si instinctif fût-il, il avait tout de même brièvement esthétisé, et son art poétique (Jadis et Naguère) donnait bref et bien sa méthode. […] Nous avons fait une renaissance poétique dans le rythme et la curiosité sympathique des lettres nous accompagna. […] D’ailleurs, employer les ressources de l’ancienne poétique reste souvent loisible. Cette poétique avait sa valeur, et la garde en tant que cas particulier de la nouvelle, comme celle-ci est destinée à n’être plus tard qu’un cas particulier d’une poétique plus générale ; l’ancienne poésie différait de la prose par une certaine ordonnance, la nouvelle voudrait s’en différencier par la musique.

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