L’accueil de Lamartine et son jugement favorable encouragèrent Farcy à continuer ses essais poétiques. […] Sa poésie a une ingénuité de sentiments et d’émotions qui s’attachent à des objets pour lesquels le grand nombre n’a guère de sympathie, et où il y a plutôt travers d’esprit ou habitudes bizarres de jeune homme pauvre et souffreteux, qu’attachement naturel et poétique. […] Le libertinage est poétique quand c’est un emportement du principe passionné en nous, quand c’est philosophie audacieuse, mais non quand il n’est qu’un égarement furtif, une confession honteuse. […] Mais si la foule lui est insupportable, le vaste espace l’accable encore, ce qui est moins poétique. […] « Cette amitié n’est ni morale ni poétique… » Ici s’arrête la note inachevée.