Mallarmé. » Plus loin, faisant allusion à Ibsen, il reconnaît s’accommoder mal des obscurités chez un moraliste : c’est là encore une concession incomplète et, pour ma part, j’avoue que je ne puis pas m’accommoder du tout de l’obscurité, fût-elle poétique. […] C’étaient toutes les œuvres poétiques de Platon. […] » On voit qu’il n’y a sur terre rien de nouveau, même le nouveau ; il s’agit seulement d’un livre très intéressant au point de vue scientifique et aussi au point de vue poétique, car La Fin du monde que publie M.