Que si ses misères le poursuivent, le souffle poétique, qui ne peut les effacer, les transforme : elles s’ennoblissent, il les aime, et dès lors il les supporte ; car la seule chose à laquelle il ne puisse se résigner, c’est la petitesse. […] Élevées à cette énormité et savourées avec cette insouciance, les fonctions corporelles deviennent poétiques.