A l’apparition de ses premières poésies, il écrivait au frère de sa mère, M. […] C’était le printemps même, tout un printemps de poésie qui éclatait à nos yeux. […] C’est peut-être une erreur métaphysique, mais que deviendrait la poésie sans cette illusion ? […] Grillparzer a dit que la source de toute poésie était dans la vérité de la sensation. Toute la poésie de Musset s’explique par cette vérité.