C’est, avons-nous dit, l’histoire de la transformation de l’éloquence de la chaire en poésie lyrique. […] que le ciel, soigneux de notre poésie, Grand roi, ne nous fit-il plus voisins de l’Asie. […] La religion, qui est en tout le fondement de la poésie épique, est parmi nous l’opposé de leur mythologie. […] Je m’en sers ici dans une autre acception, en considérant la poésie classique comme celle des anciens, et la poésie romantique comme celle qui tient eu quelque manière aux traditions chevaleresques. […] Supprimez d’un seul coup toute la poésie en vers, ce sera plus expéditif ; sinon parlez avec estime de ceux qui en ont possédé les secrets.