Il n’y a, en effet, que deux poésies dans le monde, — la poésie de la Force et la poésie de la Grâce. […] Poétiquement, Jules de Gères appartient à la poésie de la Grâce. […] Mais le sonnet n’en est pas moins un genre de poésie inférieur, la poésie ayant, comme toutes choses, dans ce monde hiérarchisé, des genres inférieurs et des genres supérieurs. […] Il ne faut pas croire que l’expression soit tout, quoi qu’elle soit beaucoup, dans la poésie. […] Sa poésie ne tenait pas aux mots et ne tenait pas dans les mots.