Pendant trois ans il travailla et retravailla cette malheureuse fiction qui est un plaidoyer entre les déesses du jardinage, de la peinture, de l’architecture et de la poésie, et n’en tira pas grand-chose. […] La poésie s’en va sous les conventions et les convenances. […] Ils ont pris simplement le contre-pied de l’ancienne, et notre poésie, entre les oripeaux et les guenilles, attend encore le vêtement qui lui convient.