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937. (1870) Causeries du lundi. Tome XII (3e éd.) « Santeul ou de la poésie latine sous Louis XIV, par M. Montalant-Bougleux, 1 vol. in-12. Paris, 1855. — II » pp. 39-56

le poète qui s’était publiquement consacré à célébrer les saints dans ses hymnes, revenir de la sorte à la mythologie païenne ! Est-ce donc ainsi qu’en agissaient les vieux poètes chrétiens ? […] il s’agit de l’honneur du Pinde : nous, poète sacré, nous sommes frappé au milieu du festin. […] Le poète, à son tour, avait ses susceptibilités et ses ombrages, et l’effarouchement succédait tout d’un coup chez lui au trop de privance. […] Quelle source nouvelle d’inspiration pour un poète tant soit peu bachique !

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