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562. (1841) Matinées littéraires pp. 3-32

Les poètes étaient jadis les législateurs des peuples : ne seraient-ils de nos jours que leurs histrions ? […] Il en est ainsi de l’âme du poète, soit qu’il cherche ses inspirations dans la nature extérieure, soit qu’il les trouve dans sa propre nature. […] Mais on trouve encore chez les différents poètes un genre de beauté qui leur est spécial, et qui tient au caractère particulier de leur siècle et de leur pays. […] « Mais tenez, ce jeune homme est poète lui-même : « De lui dans nos salons on fait un cas extrême. […] (Ici la lecture commence ; le poète chante, l’avocat crie.)

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