Les chansonnettes de Canqueteau, dont la voix avait des secousses de montagnes russes, y alternaient avec les odes enflammées de Raymond de la Tailhède ; une satire rimée de Cazals y succédait à un poème évolutif de René Ghil.
Les chansonnettes de Canqueteau, dont la voix avait des secousses de montagnes russes, y alternaient avec les odes enflammées de Raymond de la Tailhède ; une satire rimée de Cazals y succédait à un poème évolutif de René Ghil.