À la mort de son père, en 1879, il prit la direction des affaires de la maison, écrivit entre temps divers articles ou poèmes publiés çà et là. […] « C’est alors que, dans sa retraite de Bellac, il composa l’Assaut de l’Olympe (1882), recueil de poèmes publié à Limoges et devenu aujourd’hui introuvable. […] Et nous annoncions ainsi une édition prochaine des œuvres du maître, miraculeusement retrouvées : « D’aucuns messages épistolaires du Ponant et de l’Orient advenus en les Bureaux de la Décadente Écriture, interrogent — dubitatifs — la foi de notre du Plessys touchant l’authentique des Poèmes — combien trop rares ! […] Des bribes d’interviews, des correspondances de famille dévoilées, des poèmes retrouvés, venaient restreindre le champ de la fantaisie. […] Laurent Tailhade s’est révélé, depuis, l’auteur de ces strophes en les intercalant dans les Poèmes aristophanesque.