— Les Poèmes modernes (1869). — Le Passant, drame en un acte et en vers (1869). — Les Deux Douleurs, drame en un acte et en vers (1870). — L’Abandonnée, drame en deux actes, en vers (1871). — Fais ce que dois, un acte, en vers (1871). — Les Bijoux de la délivrance (1872). — Le Rendez-vous, un acte, en vers (1872). — Les Humbles, poésies (1872). — Le Cahier rouge (1874). — Olivier, poème (1875). — Une idylle pendant le siège (1875). — Le Luthier de Crémone, un acte, en vers (1876). — Le Trésor (1877). — L’Exilée (1877). — Les Récits et les Élégies (1878). — La Korigane, ballet (1881). — Madame de Maintenon, cinq actes, en vers (1881) […] Coppée a fait représenter hier à l’Odéon plus de talent que dans cette comédie en cinq actes que je pourrais vous citer, si je ne craignais pas de chagriner l’auteur… Le Passant n’est pas une de ces pièces que l’on raconte ; c’est un poème auquel l’analyse ferait perdre la saveur et la grâce, une pure œuvre d’art que je vous engage à aller voir et que vous applaudirez certainement ; cela dure vingt minutes, vingt-cinq minutes au plus, et tout, depuis le premier vers jusqu’au dernier, vous charmera, je vous le jure… Enfin, voilà un début heureux au théâtre ; si M. […] Marcel Fouquier Plusieurs de ces poèmes de genre, de ces quadri, de ces croquis, sont enlevés de verve, avec une grâce très délicate ou une malice très « lyrique ». […] Le poème d’Olivier épris douloureusement d’un amour virginal et qui voit son rêve flétri par le souvenir des débauches passées, aurait charmé le Sainte-Beuve analyste des Pensées d’août.