En s’exerçant avec Clymène, La Fontaine n’a pas fait autre chose qu’expérimenter son talent et s’essayer dans l’ordre d’art qu’il devait plus tard adopter et ne jamais quitter. […] Je devrais donc parler des Contes avant Psyché ; mais comme les Contes ont comme poursuivi La Fontaine jusqu’à la fin de sa vie, je les garde pour plus tard.