Cette noce, la visite et le bal au château de la Vaubyessard, qui en sera comme le pendant, toute la scène des comices agricoles qui viendra plus tard, font des tableaux qui, s’ils étaient peints au pinceau comme ils sont écrits, seraient à mettre dans une galerie à côté des meilleures toiles du genre. […] Elle le montrera encore plus tard, lorsque délaissée par Rodolphe qui veut bien avoir une jolie voisine, mais qui ne tient pas du tout à l’enlever, ayant trouvé dans un voyage à Rouen Léon très gâté et qui n’est plus timide, livrée elle-même à d’ignobles entraînements, ayant ruiné son intérieur et contracté des dettes à l’insu de son mari, un jour qu'elle ne sait plus où donner de la tête et où la saisie la menace, elle dit à Léon en lui demandant de lui procurer 3000 francs à l’instant même : « Si j’étais à ta place, moi, je les trouverais bien. — Où donc ?