Elle se compose de deux armées : la première est celle des Encyclopédistes, les uns sceptiques comme d’Alembert, les autres à demi panthéistes comme Diderot et Lamarck, d’autres francs athées et matérialistes secs comme d’Holbach, La Mettrie, Helvétius, plus tard Condorcet, Lalande et Volney, tous divers et indépendants les uns des autres, mais tous unanimes en ceci, que la tradition est l’ennemi.