Un siecle où l’on n’a pas rougi de comparer un fade & ennuyeux Roman1 à un Poëme divin, est-il donc fait pour donner des loix, contre les décisions d’un siecle plein de lumieres & de goût, qui avoit déjà fixé la question ? […] Il a fait encore des Dialogues sur l’Eloquence pleins de réflexions lumineuses, qui, prouvant son génie, ne sauroient convenir qu’à des génies aussi heureux que le sien.