Avant de discuter Sibylle, je rendrai pourtant pleine justice à Dalila. […] Mais c’est surtout dans le personnage plein de verve du chevalier Carnioli que M. […] Sibylle, je l’admets, est une imagination poétique, un génie naturel comme il s’en rencontre, hardi, élevé, plein d’essor : quand le curé veut lui apprendre son catéchisme, elle raisonne, elle veut savoir le pourquoi des choses ; elle force le bonhomme à se remettre à ses auteurs et à étudier.