il a été plus précis, plus explicite ; dans cette même lettre à Huet, l’évêque de Soissons, il nous dit ceci : Je chéris l’Arioste et j’estime le Tasse ; Plein de Machiavel, entêté de Boccace, J’en parle si souvent qu’on en est étourdi. […] Ecoutez ce récit, Que je tiens d’un roi plein de gloire. […] Jamais un roi ne ment… Il va sans dire qu’il termine par une petite épigramme à sa manière, pleine de bonne humeur. […] Je ne dirai pas que ses fables sont pleines de la notion de la Providence, mais cette notion revient très souvent, à beaucoup de reprises, dans ses fables.