Aussi, un général plein de bonnes intentions m’a un jour assez clairement fait entendre que je devrais faire comme Schiller. […] On apporta bientôt de la lumière, et j’eus le bonheur de voir Goethe devant moi plein de vivacité et de gaieté. […] Mais, dites-moi, mon très cher, qu’allez-vous donc faire en pleins champs avec votre Doolan, pendant toutes les belles après-midi ? […] » J’étais plein de joie de tenir cette chère arme dans mes mains. […] Il avait alors trente ans, moi quarante ; tous deux encore dans notre plein essor ; c’était quelque chose !