., que l’auteur a semés dans son ouvrage, me plaisent beaucoup en eux-mêmes, mais me paraissent refroidir un peu l’intérêt, parce que l’unité est pour moi la première qualité des romans : aussi quelque excellents que soient les romans anglais, je les lis avec presque autant de fatigue que de plaisir. […] J’ai trouvé la préface mauvaise ; elle m’avait même un peu prévenu contre l’ouvrage : on voit que l’auteur ne pense pas un mot de ce qu’il dit, et qu’il serait très fâché que son livre ne plût qu’à lui seul.